Nous vous invitons à visionner ce clip
réalisé dans le cadre de la fontaine évènement, place du Palais Royal à
Paris, à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Eau du 22 mars. Il nous
conforte dans notre désir de voir aboutir notre projet à
InWagheur. Visionner...
Actualités du Niger
Le Niger, de
nouveau face aux menaces de famine
«Urgence pour les
enfants du Niger». Les organisations humanitaires présentes dans ce
pays d'Afrique de l'Ouest ont lancé un appel à la mobilisation
mondiale pour enrayer la crise alimentaire qui frappe cette année
près de 7,8 millions de Nigériens (soit 58,2% de la population.),
dont plus de 300.000 enfants de manière grave.
Au moins six enfants
nigériens sur 10 vivent dans la pauvreté, alors que des progrès
considérables ont été réalisés en faveur du respect de leurs droits,
révèle un rapport conjoint de l'UNICEF et du gouvernement
nigérien
Des pluies insuffisantes, et des
précipitations irrégulières ont entraîné une chute des productions
céréalières à la fin 2009 et au début 2010. Au Niger et au Tchad,
les récoltes ont diminué d’environ 30% par rapport à celles de
2008.Conséquence : les réserves de céréales sont maigres et souvent
déjà épuisées, le fourrage fait défaut. Or la population doit encore
tenir jusqu'à la prochaine récolte, en octobre. C'est ce qu'on
appelle la période de soudure, durant laquelle se déclenchent les
famines.
Dans les régions les plus affectées,
certaines familles n’ont déjà plus de réserves et vendent leurs
animaux et leurs semences. Une augmentation significative des prix
des céréales en a résulté entre décembre et janvier 2010 et le prix
du bétail a fortement baissé
Les puits s’assèchent,
les banques alimentaires se vident, des villages entiers se
dépeuplent. Les paysans émigrent peu à peu vers les villes dans
l’espoir de trouver un travail, ou de bénéficier de la solidarité
locale. Un phénomène de migration saisonnier qui prend de l’ampleur
avec la sécheresse de cette année.
Au Niger, les ONG et les
Nations unies se sont félicitées du changement d’attitude du
gouvernement. Après le renversement du président Tandja le 18
février dernier, les militaires ont rompu avec des années de silence
sur les problèmes de malnutrition sévère, en demandant une aide
d’urgence et en lançant une opération de vente de céréales à prix
modérés. Leur appel semble avoir été entendu par la communauté
internationale et les bailleurs de fonds, avant que l’insécurité
alimentaire ne tourne à la famine
généralisée.
Coup d’état au
Niger
En août
2009, à cinq mois de la fin de son mandat, le président du
Niger, Mamadou Tandja, organisait un référendum permettant de
faire passer de deux à trois mandats présidentiels la limite
permise par la constitution et de rallonger son propre mandat
de trois ans... La Cour constitutionnelle ayant émis un avis
défavorable, ce dernier prenait la décision de dissoudre le
parlement.
Le
18 février 2010, les militaires nigériens
menaient un coup d'État au palais présidentiel, en plein
conseil des ministres, où ils faisaient prisonniers le
président ainsi que quelques uns de ses ministres (ces
derniers ont été relâchés depuis, mis à part Mamadou
Tandja).
Vingt-quatre heures après avoir été décrété, le
couvre-feu a été levé, les frontières terrestres et aériennes
du pays rouvertes et la population a repris ses occupations
habituelles.
Créant un
Conseil suprême pour la restauration de la démocratie, la
junte a nommé un nouveau chef de l'État, Salou Djibo (chef
d'escadron), afin de mettre un terme à une situation
d’instabilité politique
en attendant l'organisation de nouvelles élections. A
ce jour, aucune date n'a été fixée mais la junte au pouvoir a
pris la décision de rendre
"inéligibles" les militaires, les paramilitaires et les
ministres aux prochaines élections
Même si
l’intervention de l’armée a été unanimement dénoncée par
l’Union africaine et d’autres institutions internationales
ainsi que les chancelleries occidentales, cette condamnation
relève du principe tant elle apparaissait comme la seule issue
possible à la crise politique qui était dans une impasse
totale.
Ce coup
d’état est désormais accepté par la communauté
internationale.
Depuis,
des opposants à l'ex-président exilés à l'étranger ont pu
rentrer au pays, par contre le gouvernement provisoire vient
d’opéré une vague d’arrestations des anciens dignitaires du
régime de Mamadou Tandja, pour "activités
subversives".
La
liberté de la presse est
rétablie. |
La fin de la
rébellion
La paix
semble s’être
installée dans le nord du pays. Les rebelles touaregs
ont déposé les armes en automne 2009 et une amnistie a été
accordée aux auteurs et coauteurs de l’insurrection armée dans
le nord.
|
|
La sécurité au
Niger
Sur le site du
ministère des Affaires étrangères le 8 mars
2010
Suite au coup d’État du
18 février 2010, le pays paraît avoir
retrouvé le calme. Une période de « transition » étant par
nature incertaine, il est recommandé d'observer un
comportement prudent et neutre.
| |
Bilan des
dons en faveur des sinistrés
des inondations
Rapport de Mr
AGHALI
ABDELKADER, président de l’Association
EUPHORBE EN DEVELOPPEMENT
Dès mon arrivée à Agadez j'ai convoqué toutes
les femmes, mais une quinzaine seulement a répondu présent chez la
femme la plus âgée des familles victimes.
Après plusieurs échanges sur l'origine exacte de
l'argent, sur l'Association Euphorbe en Développement et sur les
projets que mène Euphorbe en Illabakan en tant que partenaire d'E.en
D. dans la zone de l'Azawagh (Abalak & Tchintabaradène), j'ai
remis une somme de 150.000 FCFA (225 €) sur le champ à ce groupe.
Puis je me suis déplacé, accompagné d'un
membre d'E en D que j'ai trouvé à Agadez, vers les familles dont les
femmes ne sont pas venues, je leur ai remis individuellement la
somme totale de 175.000
FCFA (260 €)
Ensuite, j'ai été voir une famille qui a été
victime d'un incendie peu avant mon arrivée où elle avait tout perdu
(hormis un frigo et une moquette déposés hors de la maison), je lui
ai remis une somme de 125.000 FCFA (188
€)
Il faut dire que ces femmes étaient très
ravies et n'arrêtaient pas de remercier tous les donateurs.
Certaines m'ont demandé de leur envoyer les statuts et le règlement
de notre association pour former sur place à Agadez un bureau des
femmes militantes de l'Association E. en
D.
En
attendant d'avoir le journal qui paraîtra la semaine
prochaine..."
Article de presse paru dans « Le
Républicain »:
|
Aide des
collectivités
Notre demande de subvention auprès de
la ville de Dijon a été reçue favorablement. La municipalité nous
accorde une aide financière
de 3000 euros (Nous en espérions 2000 au
mieux !)
D'autre part nous avons obtenu la mise
à disposition à titre gracieux :
- De la salle Camille
Claudel à Dijon pour l’organisation de la
« journée solidarité »
- De la salle du
Bastion à Beaune par la direction des HOSPICES DE
BEAUNE pour l’organisation d’un
repas.
D'autres dossiers de demande de
financement ont été déposés et sont en cours
d'étude. |
Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule
nous avons été contactés par "L’association Léon" qui a
souhaité s'associer à notre projet en nous faisant un don de 1500
euros
Créée en 2004, à la suite d'un voyage à
MADAGASCAR, cette association (Association loi 1901)se propose
d’apporter des aides matérielles et humanitaires en France et à
l’étranger, notamment dans les pays en voie de
développement.
Pour ce faire, elle produit et
diffuse des créations théâtrales ou musicales et récolte les fonds
nécessaires à ses missions: "Le souper de Léon" Spectacle pour enfants
(2005) "Elle avait un ravioli sur le
front" Théâtre cabaret (2007) en partenariat avec la compagnie de la
Toile Cirée.
Contact: Olivier
PEILLARD 5
rue Alexis PERREY
21000 DIJON Tel : 06 87 01 34
63 leon.association@free.fr
|
Ils nous aident, nous les en
remercions:
si vous désirez nous rejoindre et
associer votre image à notre action, contactez
nous.
| |